Croquer pour désaltérer (bulletin n°5)

Au Domaine de Coq Handsort, le projet d’accueil de volailles s’est concrétisé grâce, il faut leur rendre, aux compagnons de fortune de Babeau .

En effet le joli parc clôturé et couvert pour partie, envisagé par elle pour ces oiseaux là, était totalement envahit de ronces, d’orties, de bois et de toutes sortes de choses que la nature avait entassé là. Rien d’insurmontable à dégager, mais un travail d’arrache-pied, dame nature reprenant récursivement ses droits.

Dans cette jungle, une poule n’y aurait pas retrouvé ses poussins.

Régir cette entreprise n’est pas pour Babeau Handsort une mince affaire tant elle y met son coeur, et y brime ses bras qui a eux seuls ne peuvent suffire. Heureusement, Pouletbio par exemple, est aussi costaud que travailleur pensant. Deden-croquepoule porte l’ambition de parvenir au succès, et ainsi de belles autres âmes…

C’est un duo permanent, un trio très fréquemment ou un quatuor efficace qui occupe la scène quotidienne à préparer l’arrivée des protégés. Une véritable aventure, ce coquet projet.

Le régisseur (nous n’aimons pas assez régisseuse, ou pas encore assez!!!) doit prévoir en toutes circonstances  (cf bulletin n°3), le bon acheminement de l’eau. Car à Coq Handsort, comme partout sur notre globe terrestre, qui dit vie, dit boire de l’eau.

Deden (ou Croquepoule, c’est ainsi que nous appelons parfois par commodité, Deden-Croquepoule) participe activement au projet de construction du Poulailler, permettant  l’accueil et l’installation des filleuls (cf Bulletin n°1). Naturellement, Babeau le laisse prendre son envol pour la réalisation de l’oeuvre au Domaine.

Ne l’oublions pas, Deden est grand croqueur qui dissèque tout; peu lui échappe, car il porte en permanence sur lui son crayon fétiche par lequel le trait émerge.Tout se dessine avec lui, du grand art pour le basique!

Le choix de la citerne pourvoyeuse de l’eau de boisson, est stratégique (cf bulletin n°4); sur-élevée et partant du terrain tranquillement pentu jusqu’à l’habitat des gallinacées, elle permettrait d’éviter l’achat d’une pompe, mais non celui d’un robinet d’arrêt. Le  parcours de l’eau est dessiné, l’installation est assez croquée.

D’abord courir aux magasins chercher, comparer, trouver et acheter 100 mètres de solide tuyau à rabouter à la citerne puis parer d’une vanne permettant le contrôle du débit d’eau jusqu’au Poulailler.

Oh, mais il est bien tard maintenant, l’heure est au repos, arrêtons de caqueter et souhaitons à chacun, bonne nuit.

A bientôt, pour les aventures de nos galliformes au Poulailler.

Coq Tel & Poule Coquette

(rendez-vous au plus tard, la première douzaine de novembre pour la suite de nos aventures)