Boire à Coq Handsort (bulletin n°3)

Aujourd’hui, nous nous sommes levés comme les poules. L’heure est au travail.

Chaque oiseau est aussitôt doté du prénom choisi pour lui, dans l’espoir inavouable, pour la plupart de nos congénères, de l’existence d’un lien possiblement amical, intelligent, ludique animal/humain et réciproquement.

Chacun a son caractère et son tempérament, comme nous le découvrirons au fil du temps, et suivant la chronologie des premières rencontres parrain-marraine/filleule-filleul ou au gré d’éléments divers….

Quant aux parrains/marraines bienveillants, constituant le cercle « Cot Codèque », ils pourront transmettre information, historiette, proposition, suggestion, critique, question, aventure de Poulailler etc….

En attendant, il faudrait pourvoir à l’arrivée de l’eau par un moyen moins contraignant pour nous que celui de l’arrosoir, ou du transport à bout de bras d’un abreuvoir dit manuel, et dont l’issue pour les bêtes reste aléatoire. Leur logis n’est pas accessible en voiture….A force de pas sur terrain accidenté, le récipient contenant l’eau s’en trouve vidé de moitié à l’arrivée au poulailler.

Un poulet aurait besoin d’1/4 de litre d’eau par jour, sachant que cette nécessité évolue en fonction de l’age de l’emplumé bien évidemment.

Sont arrivés au Domaine quatre poulets et trois grands poussins, que nous décrirons tantôt.

Comment faire donc pour remplacer cet abreuvoir manuel jaune d’or, joli certes, et doublé par précaution, mais aux pieds détachables, et par là-même, peu stable? Entre les vacillements du remplissage, du portage, ceux de l’arrivage, puis de l’usage de l’eau, que va t’il en rester?  Pour combien de volailles et combien de temps…..?

Coq Tel & Poule Coquette

(rendez-vous le 23 septembre pour la suite de nos aventures)